Comment réduire les risques sanitaires liés à la QAI dans les musées ?

20 septembre 2022

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Les musées sont des lieux publics permettant à un large public d’apprendre, de découvrir, de se cultiver et de se divertir. Avec l’affluence dans ces lieux, il est important d’assurer la qualité de l’air intérieur (QAI) pour la santé des visiteurs et des employés. Alors, quels sont les risques sanitaires liés à la QAI dans ces lieux culturels ? Comment y remédier ? Les réponses en détail.

I. L’importance d’optimiser la QAI dans les musées

Même si le risque de contamination est moins élevé dans les musées que dans d’autres lieux publics, des précautions sont à mettre en place pour éviter les risques sanitaires [1]. En effet, de fines particules nocives aux personnes et altérant les objets exposés peuvent être contenues dans l’air intérieur. De plus, les articles L. 221-8 et R. 221-30 du code de l’environnement rendent obligatoire la surveillance de la qualité de l’air intérieur dans les établissements recevant un public sensible.

Squelette de dinosaure conservée dans un musée.
© Liandra Design via Canva.com

Il y a d’abord les polluants et les agents pathogènes apportés sur les lieux par les personnes qui y travaillent et les visiteurs. Ce sont les virus, les bactéries ou encore les champignons. De plus, ces éléments peuvent être une source de maladie, et l’air ainsi pollué favorise leur propagation. On peut notamment citer :

  • Le virus SARS-CoV 2 ;
  • Les oxydes d’azote (NOx) ;
  • Le monoxyde de carbone (CO) ;
  • Les composés organiques volatils (COV). 

Les éléments toxiques accumulés par les produits d’entretien, les produits de restauration et de conservation des objets sont également à prendre en compte. Les éléments toxiques émis par les objets exposés à la suite d’une oxydation de matière, par exemple, sont aussi pris en compte. Ces éléments peuvent être des produits organiques comme le lindane et le DDT (Dichlorodiphényltrichloroéthane C14H9CL5) ou des produits inorganiques tels que l’arsenic [2].Assurer la qualité de l’air à  l’intérieur des musées est ainsi incontournable pour préserver la santé des visiteurs, du personnel, mais aussi pour l’intégrité des objets.

Avec les risques de contamination de l’air intérieur dans les musées, une désinfection sans compromis doit être réalisée, ainsi qu'une filtration en permanence
© Nobilior Images via Canva.com

II. Réduction des risques sanitaires au sein des musées : optimiser une filtration efficace pour améliorer la QAI

Avec les risques de contamination de l’air intérieur dans les musées, une désinfection sans compromis doit être réalisée, ainsi qu’une filtration en permanence. Toutefois, quelques facteurs doivent être pris en compte pour assurer le bon fonctionnement de l’établissement.

Une désinfection écologique sans produits chimiques est requise. Le dispositif de traitement de l’air intérieur ne doit pas provoquer à leur tour des allergies ou des irritations. De plus, certains produits peuvent provoquer des réactions indésirables sur les œuvres exposées dans les musées.

Des solutions pratiques et autonomes ne nécessitant pas de personnel dédié peuvent être importantes. Une initiative économique impliquant la mise en place de systèmes faciles prendre en main et qui ne gênent pas les visiteurs est idéale.

Les propriétaires et exploitants des musées doivent assurer une filtration efficace. En outre, a pour but de s’adapter au volume des salles, au nombre de visiteurs et des employés. Ils doivent ainsi trouver un système pouvant assurer en permanence la QAI [3].

Conclusion

Novalum offre des solutions qui peuvent éliminer à 99,9 % les virus, les bactéries, les polluants et allergènes. C’est une entreprise française experte en désinfection de l’air et des surfaces qui peuvent purifier l’air intérieur des musées. Des produits certifiés, testés et répondant aux normes garantissent une purification efficace pour tout type d’espace. Ainsi, les galeries et salles d’exposition, les halls d’attente, les boutiques de souvenir, les cafétérias, voire les bureaux sont concernés. Des produits comme l’UVAIR300-F permettent une désinfection et purification efficace de l’air. Contrôlable à distance, cette installation murale intègre un filtre charbon actif et des tubes UVC pour une ventilation jusqu’à 1 200 m3.

Références

[1] Contamination : le musée moins dangereux que le supermarché ou l’école

[2] Evaluer la pollution de l’air au muséum d’Histoire naturelle de Rouen

[3] Qualité de l’air intérieur

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